Le quiz des scandales sexuels

Le quiz des scandales sexuels

Le quiz des scandales sexuels

Le quiz des scandales sexuels

La semaine fut rythmée par les compilations des scandales sexuels les plus célèbres des politiques. A l'honneur, Bill Clinton, Silvio Berlusconi, Moshe Katsav et les autres. à force, on ne pensait plus qu'à ça. Le plus insolite, le plus grave, le plus foufou ! Voici le quiz des scandales sexuels. Dix des plus connus ont été choisis de manière totalement subjective par la rédaction. Voyons si vous aussi, ces histoires de fesses vous ont autant marqués que nous.

 

Question 1 :

Je suis le tombeur de ces dames, malgré mes paupières tombantes. Cette façon hésitante de m’exprimer ou cette bienséance so british qui me caractérise n’y est sans doute pas pour rien. Ces talents, j’en joue à merveille devant les caméras et fait pleurer les filles dans des comédies romantiques pas toujours réussies. Pour tout vous dire, je suis un acteur cantonné aux bluettes. Il m’arrive pourtant de m’encanailler. Dans le milieu des années 90, j’ai été arrêté sur Hollywood Boulevard. Les faits qui m’étaient reprochés ? Conduite indécente dans un endroit public. Elisabeth Hurley a fait la gueule, elle était la seule à pouvoir me prendre en bouche… Avec le recul, je ne sais pas si j’ai bien fait de demander les services de cette fille de joie. Je suis ?

Question 2 :

Je fais partie des enfants qui pourraient porter plainte contre leurs parents pour leur avoir infligé un prénom un peu lourd à porter. Mon père soucieux de ma popularité dans la cour de récré, m’inscrivit au golf. Enfant prodige, je deviens vite le maître d’un sport dominé jusque-là par des pré-retraité. Jeune et beau, je deviens un modèle pour la jeunesse de mon pays, qui a pu s’exercer à feindre la gratitude en apercevant des jeux vidéo de golf devant le sapin. Ambitieux, je cumule les parcours de 18 trous avec celui de 19 adultères, mais toujours en trois coup sous le par. S’ensuit une descente aux enfers, je divorce de ma femme mannequin scandinave, perd la plupart de mes sponsors et dois m’excuser devant mon pays pour mes frasques. Je suis ?

Question 3 :

Bien née, spirituelle et belle comme un cœur, il n’y a pas grand-chose à signaler concernant ma sexualité jusqu’à mes 11 ans, si ce n’est certaines œillades coquines vers les palefreniers, dans la cour du château. J’avais déjà des amants quand mes trois frères, Charles, Henri et François firent de moi leur maîtresse, à 15 ans. Ne recevant aucun soutien ni réconfort de la part de mon odieuse et sévère maman, Catherine de Médicis, je trouvai refuge dans les bras du duc de Guise dont je tombai follement amoureuse. Tenez-vous bien, mon aventure avec le duc fit davantage jaser que ce que m’infligeaient mes frères lors dès bacchanales organisées au château ! Et puis on me força à épouser Henri de Navarre pour conclure une trêve entre protestants et catholiques. Le futur Henri IV empestait l’ail, un cauchemar ! D’autant plus que, finalement, ma mère ordonne le massacre des huguenots la nuit de la Saint-Barthélémy, quelques jours plus tard. Tout ça pour ça. En 1599, mon mariage avec Henri fut annulé mais je gardai mon titre de reine (décadente). Je suis ?

Question 4 :

Chanteur anglais d’origine grecque, je suis très vite devenue une icône gay en popularisant le minishort fluo et la boucle d’oreille clinquante. Auteur de nombreux tubes à succès dans les années 80 et 90, passant de morceaux d’une candeur incroyable tel que Wake Me Up Before You Go-Go à des titres provocateurs adulescents comme I Want Your Sex. En 1998, suite à une arrestation dans des toilettes publiques, je me vois dans l’obligation de révéler mon homosexualité, le monde entier tomba des nues… Je suis ?

Question 5 :

Né vers 1288, après des études un peu bâclées de chevalerie, je monte avec mon frère sur Paris pour aller glandouiller à la cour de Philippe Le Bel. Je deviens assez rapidement amant de la belle fille du Roi, Blanche de Bourgogne. Mon frère qui m’a toujours imité, ne trouve rien d’autre de mieux à faire que de séduire une autre belle fille du roi, Marguerite de Bourgogne. Isabelle de France, peut-être par jalousie car mariée à un roi homosexuel, nous dénonça. Le Roi, dans toute sa miséricorde et qu’on connaissait un brin soupe au lait depuis l’Affaire des Templiers, nous fit écorcher vivants, nous émascula et nous décapita. Pour éviter une éventuelle récidive, il nous fit pendre par les aisselles. Je suis ?

Question 6 :

Physique singulier, athlétique et sportif, je viens du nord de la France. On peut m’appeler Bilal Yousuf Mohammed, ou pas. J’ai un autre nom. J’aime courir. J’aime faire rire mes copains au volant d’un bus que j’envoie dans le décor. On s’était bien marré ce jour-là. Je me suis moins marré quand on a découvert mes liens avec la prostituée. Elle était mineure, on en a fait tout un pataquès. Garde à vue et tout le tintouin ! Et Wahiba et ses frères, je ne vous raconte pas ! Je me disais que tout le monde allait oublier l’affaire si j’allais gagner en Afrique du Sud. Au lieu de ça j’ai fait la grève. Et l’affaire « Zahia D. » est devenue internationale. Maintenant, on ne parle plus que de quotas, je suis planqué. Je suis ?

Question 7 :

Acteur culte d’une série culte qui a très mal vieilli, qu’on se demande même comment on a pu l’aimer, ou alors c’est peut-être qu’on la confond depuis toujours avec une super bien. Bien que j’aurais été plus crédible dans le rôle d’un croupier biélorusse exilé à Monaco, je représente dans l’imaginaire occidental le moine Shaolin sage et non violent. Sauvé de l’oubli et des méandres de la Worldcon (congrès de SF) par Quentin Tarantino qui me donne le rôle de ma vie dans Kill Bill. Malgré ce retour des enfers, je bousille toute cette aura en jouant dans un clip des Jonas Brothers. Dans un ultime fait d’arme rock’n roll, je meurs d’asphyxie auto-érotique à Bangkok. Je suis ?

Question 8 :

Au rythme où vont les choses, il est fort probable que je sois expulsé du clan Kennedy avant d’avoir dit ouf ! Pourtant, il me semblait que Kennedy et scandales sexuels allaient de paire… Vous vous souvenez sans doute de moi, nu comme un ver, juché sur une sorcière, râlant de plaisir dans le fond d’une grotte. C’était pour les besoins d’un film sur les barbares. Depuis je suis entré en politique. J’en suis sorti et je voulais refaire du cinéma. Mais c’est râpé.
Ma femme vient juste de me quitter. Elle a découvert que j’étais le père d’un enfant dont elle n’est pas la mère. Non, la mère c’est l’une de nos domestiques. Je ne suis pas fier, vous savez ! Sur ce coup-là, mes gros muscles ne me servent à rien ! J’ai tout de même une chose pour moi. Une autre affaire de fesses, plus graves celle-ci, détourne complètement l’attention des journalistes ! Je suis ?

Question 9 :

Homme politique sous la Troisième République, je deviens président de la République, en 1895, soutenu par les monarchistes. Il va s’en dire que j’ai toujours cru à la culpabilité d’Alfred Dreyfus et j’ai refusé la révision de son procès. Mais là n’est pas le plus important. Je me suis acoquiné avec, Marguerite Steinheil, la femme d’un de mes plus grands amis. L’amitié n’est pas une bonne raison pour s’abstenir. A ma demande, elle me rejoint à l’Elysée un soir de février 1899. Sans plus de cérémonie, la voici qui m’administre une fellation du feu de dieu. L’orgasme me fut fatal. Marguerite est surnommée depuis ce jour « la pompe funèbre ». À cause de cette mort bien ballote, j’ai été la risée de nombre de mes compatriotes. Clémenceau, ce salaud, dira de moi : « Il voulait être César, il ne fut que Pompée ». Encore aujourd’hui, on me cite avec un rictus grivois au coin de la bouche. Je suis ?

Question 10 :

Ce soir-là, je n’avais pas envie de rentrer chez moi. L’humeur à la fête, je voulais guincher jusqu’au bout de la nuit. J’ai fait appel aux services d’une prostituée qui a eu l’idée de faire venir deux de ses copines sexy à notre surprise partie lubrique. Au programme : passement de jambes, petit pont et joie du gazon. Mais je me suis fait entuber, comme les Bleus. Ces trois nanas étaient en fait des travestis. Promis, je n’avais rien remarqué ! Et l’une d’elle, Andreia, a voulu me faire chanter ! Elle a raconté toute l’histoire à la presse, m’a fait passer pour un toxico. Malgré mes dents du bonheur, j’ai beaucoup pleuré. J’ai cru que ma carrière était terminée. Je suis ?