Comme on fait son vote, on couche

Comme on fait son vote, on couche

Comme on fait son vote, on couche

Comme on fait son vote, on couche

30 mars 2012

Une enquête Ifop pour Hot Vidéo révèle que les positions radicales et progressistes en matière de politique favorisent l'originalité en matière de sexe.

Aujourd’hui dans le magazine Hot Video, un sondage réalisé par l’Ifop qui réchauffe la campagne présidentielle. « Sexe et politique… Enquête sur les mœurs des Français et leurs orientations politiques. » Dans les différents résultats de l’enquête, l’un des points a tout particulièrement retenu notre attention. « Le répertoire des pratiques sexuelles est plus large et diversifié chez les Français exprimant un positionnement radical ou progressiste sur le plan politique. »

Fellation, cunnilingus, masturbation, usages de sex-toys, sodomie, échangisme, infidélité… A l’extrême droite ou à l’extrême gauche, on n’a des idées politiques « un peu » arrêtées mais en matière de sexe, on a les idées larges ! 92 % des femmes d’extrême gauche et 83 % des sympathisants frontistes sucent. Alors que du côté de la droite parlementaire, seules 69 % des femmes déclarent avoir pratiqué au moins une fois une fellation.

Côté sodomie, on apprend que 55 % des partis protestataires pénètrent analement. Contre seulement 45 % dans les partis destinés à gouverner. Et à gauche de la gauche, on pratique deux fois plus l’échangisme qu’ailleurs. Mais à la gauche de la gauche, on sait que la propriété est un vilain défaut.

Les électeurs d’extrême droite et d’extrême gauche ont beau avoir des pratiques sexuelles plus délurées que les autres, ils sont tout de même moins satisfaits sexuellement. 35 % des électeurs de Mélenchon et 31 % des électeurs de Le Pen se disent insatisfaits sexuellement. On est plus heureux en Sarkollande. Entre 22 et 23 % des Sarkollandiens sont insatisfaits.